Thamel, depuis la rue

La ville grouille, le quartier de Thamel est la ville touristique, les ruelles sont un mélange de touristes trekkeurs et de locaux qui vivent de nos activités.

Au sol, la rue est goudronnée mais poussiéreuse à souhait, les rares plantes sont grises, les panneaux solaires, même en hauteur sont gris uniforme.

Les tuk-tuk, motos et taxis se croisent au millimètre, le piéton quelque soit sa nationalité doit éviter le trafic.

Au rez-de-chaussée de chaque côté de la rue, les échoppent alternent entre magasin de montagne, agences de trek et souvenirs. Impossible que tout ce monde vive des ventes, ou alors on est en vraiment en fin de saison.

Le second étage est celui des restaus, tous les styles sont présents, c’est bon et bon marché.

Au troisième étage, les bars, salons de massage et boites de nuit, pas visité.

Enfin, sur les toits des hôtels des patios plus ou moins fleuris selon la catégorie des hôtels.

En bordure du quartier, les axes routiers nous font basculer dans un autre monde, celui de la vraie vie locale. Là, nous ne sommes plus adaptés, trop vite trop poussiéreux, trop sale. On traverse pour aller à l’ambassade d’Inde pour les Visa, c’est un exercice d’immersion à ne pas faire trop souvent. Les vaches, elles, sont prioritaires !

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