La nuit tombe, le brouillard s’est dissipé, les panaches du Fuego rougissent à chaque éruption. C’est tout bon. On oublie tous le froid et le vent qui piquent tout de de même, à 3600 m, nos corps ne sont pas tout à fait les mêmes.
On contemple donc et l’attente de l’après-midi ajoute un cran de plaisir. Accrochés aux appareils photos et/ou tout simplement à regarder, tout parait simple.
Une contemplation d’un volcan qui, il y a 18 mois, a tué 200 personnes. A cet instant nous restons uniquement sur l’émotion.
Deux tableaux s’offrent à nous :
côté Est, Antigua, le volcan Agua et tout au fond le Pacaya avec son « briquet » et ses coulées de lave ( voir article d’Elian),
côté Sud, El Fuego
et avec le plaisir de poser l’appareil photo, de le laisser bosser tout seul pour concentrer le temps :
Coucou les aventuriers, Je prends le bus en route et commence à vous suivre dans vos aventures . J ai toujours autant de plaisir à vous lire et à découvrir de magnifiques paysages. Merci pour le partage, je retourne vite voir la suite.
Tout simplement sublime. Grandiose.
Je repense à ce cours magistral sur les volcans offert par Adrien aux enfants, assis dans le fond d’un cratère, dans un coin reculé de la cordillère chilienne…