Voilà c’est fini, le matériel de camping n’est plus et quand on clique sur le net : « camper en Inde » les résultats montrent ce ce n’est pas le sport national.
On aura passé 3 mois pour nous, un peu moins pour les enfants dans ces espaces, petits et fragiles mais transportables tous les jours.
Chaque soir il fallait se recomposer un « chez soi » pour dormir au mieux, ou au moins mal pour certains. Dans nous 5 un petits coucou que je nommerais pas passait très simplement d’une tente à l’autre ses affaires répandues à tout va sans difficulté apparente. A la fois sympa et spontanée, ce coucou rompait sans cesse la monotonie possible des couchages. Chacun avait aussi sa technique pour le repousser : coude, genou pointé,…
Le seul regret, c’est celui ne n’avoir pas pu choisir nos coins de bivouac. L’environnement nous a fortement contraint aux sites officiels.
Voilà, un type de voyage que je conseillerais sans soucis à ma tente.